Je ne reviendrai pas sur les européennes, félicitons-nous des bons chiffres brestois, finistériens et bretons, supérieurs au résultat national.
Si nous devons penser dès maintenant aux municipales, pensons non seulement à la parité de nos candidat-e-s mais aussi à la pluralité économique et sociale sur nos listes. Car force est de constater que l’ensemble des listes aux européennes ne présentèrent guère de demandeurs d’emploi, RMI, travailleurs précaires. C’est plus de 5 millions de citoyens dont la majorité s’exprimerait pour la majorité plurielle si elle se sentait représentée. Parmi eux, il y en a qui militent et participent à la vie politique, alors où sont-ils à l’établissement des listes?
Nous affichons et proposons les 32H, les meilleurs porte-parole de ce programme de lutte pour un emploi ne serait-ce pas eux? Ceux qui survivent, ceux qui ont des idées, des solutions, des propositions et des revendications doivent se faire entendre chez les Vert-e-s, se préparer en se formant et s’informant sur les fonctions et le rôle des élus, pour se faire entendre et se proposer en tant que tel.
Une autre image de l’Ecolo Vert émerge, nous devons démontrer notre force politique. L’environnement social fait partie de nos préoccupations, comme dans bien d’autres domaines.
Citoyens à tous niveaux, les jeunes ont leur place au conseil municipal ou à l’assemblée nationale. Est-ce une utopie de faire de m^me pour les chômeurs?

Place à tous et à toutes chez les Vert-e-s!

Et si le vert était la couleur des chômeurs!